« Lorsque l’on violente une femme, on violente une famille »

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A l’occasion de la Journée internationale des droits de l’enfant, le 20 novembre, et de la Journée mondiale de lutte contre les violences à l’égard des femmes, un collectif de sept groupements  a souhaité rencontrer le président Edouard Fritch et la ministre de la Famille, Isabelle Sachet.

Le collectif composé de l’APAJ, du CTIDFF, de l’association Emauta, du Soroptimist, de la Solidarité des femmes de Tahiti, de Vahine Orama et de l’UFFO, indique qu’il y a 2,5 fois plus de victimes de coups et blessures en Polynésie qu’en métropole. Il ajoute que 65% des 2549 victimes de violences se situent dans la sphère familiale, dont 80 % de femmes. Le collectif a ainsi présenté des constats et des propositions à la fois préventives et curatives sur le sujet des violences intra-familiales.

Pour le groupement, « lorsque l’on violente une femme, on violente une famille ». Compte tenu de la situation récurrente des violences intra-familiales, le président Fritch a proposé la tenue d’un forum sur le sujet afin de mobiliser à nouveau la population, les maires, le Pays et l’Etat, et d’avoir ainsi en la matière une réponse concrète, concertée, coordonnée et cohérente.

source: gouvernement

 

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