John Lennon assassiné « pour la gloire »

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This May 15, 2012 photo provided by the New York State Department of Corrections shows Mark David Chapman at the Wende Correctional Facility in Alden, N.Y. Chapman, John Lennon’s imprisoned killer, says he still gets letters about the pain he has caused. Chapman was denied release during his eighth appearance before a parole board in August 2014, according to the transcript released by New York state corrections officials, on Wednesday, Aug. 27, 2014. (AP Photo/New York State Department of Corrections, File)/NY121/139878002688/AP PROVIDES ACCESS TO THIS PUBLICLY DISTRIBUTED HANDOUT PHOTO PROVIDED BY THE NEW YORK STATE DEPARTMENT OF CORRECTIONS./1408291435

Mark Chapman, le tueur de John Lennon, a une nouvelle fois demandé le mois dernier sa remise en liberté, pour la onzième fois. L’occasion de donner des détails s’expliquer, encore, sur son crime commis en 1980.

Une requête refusée par la justice mais qui a permis d’en savoir plus sur l’état d’esprit du meurtrier au moment du crime.

ABC News publie ce mardi les retranscriptions de derniers propos, dans lesquels il explique les raisons de cet assassinat. Il explique avoir tué la star des Beatles pour «la gloire».

«A ce moment-là, je me disais qu’il avait tout cet argent, qu’il vivait dans un magnifique appartement et qu’il vivait de la musique (…). Cela m’a rendu jaloux et en colère lorsque je comparais à la façon dont moi je vivais. Il y avait de la jalousie», a-t-il confié au juge, espérant pouvoir enfin être libéré. «Tout ça, c’était juste pour la gloire, rien de plus. Et il n’y a pas d’excuse. Je savais que c’était mal mais j’ai fait ça pour la gloire. Juste la gloire. Il était tellement connu, incroyablement connu. C’est uniquement pour ça qu’il était en haut de ma liste».

Conscient du mal qu’il a causé, Mark Chapman a de nouveau présenté ses excuses pour son crime.

«C’est le pire crime que l’on puisse commettre, faire ça à quelqu’un d’innocent. C’était un père de famille, une icône. Et je l’ai assassiné… (…). Je veux dire que je comprends à quel point c’était un acte égoïste. Et je suis désolé pour le chagrin que j’ai causé à (Yoko Ono, ndlr). J’y pense tout le temps», a ajouté celui qui se décrit aujourd’hui comme un «chrétien dévoué».

Malgré ces mots, la justice a estimé qu’une libération du tueur «serait incompatible avec le bien-être de la société». Le département de l’administration pénitentiaire et le conseil de surveillance communautaire de l’État de New(…)

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Source: Yahoo actualités

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